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21 février 2010 7 21 /02 /février /2010 20:01
Vous est-il arrivé de devoir passer d'une bibliothèque numérique à l'autre, aucune ne donnant à tous les coups entière satisfaction ? Je vous donne un exemple. Vous cherchez sur Gallica (ancienne version ou nouvelle version, puisque les deux coexistent... vous arrivez à Gallica ancienne version par le catalogue Opale de la BnF, et à la nouvelle version en tapant Gallica dans un moteur de recherche). Vous trouvez le document qui vous intéresse - malheureusement, comme 90% des documents de Gallica, il n'a pas encore été (re)numérisé en plein texte - donc vous n'arrivez pas à trouver le passage qui vous intéresse dans un livre de 600 pages - même la table des matières n'est pas suffisamment précise. Vous allez sur Google Books, vous trouvez le document indexé en plein texte - malheureusement le livre n'est visible que par "snippets" - par extraits de phrases. Néanmoins vous trouvez le passage qui vous intéresse, vous relevez le numéro de page, et vous revenez sur Gallica pour consulter la page entière ! C'est beau et harmonisé le monde des bibliothèques numériques !

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3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 13:45

Je continue à partager avec mes lecteurs certains éléments de mon statut d'auteur – il me paraît d'utilité publique de le faire car c'est rarement fait. Après les droits pour copie privée numérique (billet précédent), j'ai reçu dernièrement (mai 2009) un (modeste) chèque relatif au « droit de prêt en bibliothèque ». Comme le droit pour « copie privée numérique », ce droit est géré par la SOFIA –elle a même été créée en février 2000 pour gérer ces deux droits (historique). La rémunération pour droit de prêt est instituée par la loi du 18 juin 2003 en application d'une directive européenne de 1992.

 

En 2009, étaient distribués les droits de 2006 (un ouvrage pour moi). La somme totale à distribuer est de 15 M€ pour cette année-là. Cette somme est composée pour environ 10M€ d'une somme versée par l'État, correspondant à un versement forfaitaire de 1,5€ par inscrit en bibliothèque publique et 1€ en bibliothèque universitaire. Le restant soit 5M€ provient d'un versement des libraires à ce fond, égal à 6% des ventes réalisées en bibliothèques.

 

Ce dernier abondement mérite qu'on s'y attarde : auparavant les libraires (qui, rappelons-le, bénéficient d'une remise de 30 à 40% de l'éditeur) pouvaient faire un rabais important pour vendre aux bibliothèques publiques. La loi de 2003 a plafonné ce rabais à 15%, ce qui – si je raisonne bien – a deux conséquences : les bibliothèques publiques paient depuis 2003 plus cher leurs livres + les libraires acceptent de verser cet écot de 6% puisqu'ils ont eu une reconstitution de marge (la TVA des restaurateurs ? ). Sur le site du ministère, une autre manière de présenter cela : c'est aussi l'État et les collectivités locales (ayant les bibliothèques dans leurs escarcelles) qui payent cette deuxième partie – puisque les bibliothèques paient plus cher leurs ouvrages – les libraires en sont simplement collecteurs. L'image ci-dessous extraite du site du ministère le confirme :

 

Le fonds 2006 correspond à 6 millions d'ouvrages achetés par les bibliothèques (un rapide calcul montre que les 6% des libraires correspondent à un chiffre d'affaires de 5/0,06 = 83 millions d'euros soit environ 14 euros par ouvrage). Le fonds total de 15M€ pour 6M de livres donne 2,5€ par ouvrage, répartis entre l'auteur à 50% et l'éditeur à 50%. Je touche donc 1,25€ par ouvrage vendu en bibliothèque.

 

A signaler que ce « droit » d'auteur correspond aux ventes effectives de mon ouvrage, à la différence du « droit » de copie privée numérique qui est calculé de manière forfaitaire (cf. billet précédent).

 

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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 14:11
Après avoir remarqué certains défauts de numérisation chez Google Books (billet précédent), je fais bonne mesure en remarquant qu'un an après le crash d'ouverture de Europeana, le sytème informatique ne paraît toujours pas au point. Voici trois écrans d'erreur différents que j'ai captés aujourd'hui sur le site :

"Le nouveau système informatique d'Europeana est actuellement en phase de test. Le site est accessible à la consultation. Toutefois, l'utilisation peut e pas être optimale durant cette période (par exemple le nombre d'utilisateurs restera limité en période de pointe)."


Ou : "Veuillez nous excuser pour cette interruption de service momentanée. SARA Consulting Network Services, hébergeur d'Europeana, effectue la maintenance de son réseau de 18:00 à 21:00, heure normale d'Europe Centrale, le 11 septembre 2009" (la date est particulièrement mal choisie pour un crash informatique qui semble permanent)

quand ce n'est pas carrément :

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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 22:14
Je n'approuve pas ceux qui critiquent Google Books par principe, j'ai déjà eu l'occasion de le dire dans ce blog et dans divers articles. Les récents psychodrames BnF/Google sont d'un intérêt limité, et il y aurait beaucoup àécrire sur la façon dont Google Books est déjà beaucoup utilisé comme outil dans de nombreux milieux documentaires ou universitaires, voire dans le grand public.

Mais quand je vois il y a un défaut, mentionnons-le. La numérisation automatique sur machine à numériser a ses inconvénients. Comme me le faisait remarquer un des auteurs BibNum suite à son article commentant la thèse de Foucault (1853) sur les vitesses de la lumière dans l'air et dans l'eau, la numérisation Google Books de ce document possède une grave défaut : la planche de figures n'est pas dépliée, ce qui fait qu'on ne voit pas toutes les figures et qu'on ne peut absolument pas comprendre le document.
Nous avions fait notre propre numérisation pour ce document (lien vers planche Google, image ci-dessous).
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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 09:58
Un message d'humeur que je ne mets pas sur le blog de l'honorable société savante que je préside, la SABIX (Société des Amis de la Bibliothèque et de l'histoire de l'École polytechnique) — et qui d'ailleurs a plus trait au sujet du présent blog.

Cette société savante publie depuis sa création en 1986 un bulletin bisannuel offert aux membres et vendu 15€ à l'extérieur. Or, nous avons eu il y a quelques mois la surprise de voir nos articles distribués par l'INIST (Institut national pour l'information scientifique et technique), sorte d'entité interne au CNRS assez autonome et aux missions pas toujours bien définies par la tutelle (voir rapport Salençon-Moatti mai 2008 sur l'IST).

Voici comment cette distribution se passe. L'INIST demande à l'éditeur de la revue un abonnement gratuit. Puis il décortique chaque numéro et met chacun des articles en vente, avec une description sommaire (exemple pour un article de 1999 consacré au polytechnicien Paulin Talabot) (voir aussi la liste de tous les articles SABIX disponibles sur INIST, moteur Google interne au site INIST). Voici ce que cela donne (on remarquera à gauche les annonces Google "ciblées", sur un site public dépendant du CNRS) :


Ensuite, l'article est vendu par l'INIST à l'internaute au prix de 15 euros suivant barême ci-dessous (10,60€ pour l'article, 1,60€ pour "droit de copie", plus la TVA) :


Donc l'INIST vend au prix de 14,6€ un article (au même prix où sur notre site on peut se procurer le magazine entier) - et bien évidemment l'éditeur ne touche rien de cette somme.
Certes cela concourt (?) à la diffusion du texte, mais c'est, je trouve, une façon particulière de voir le droit d'auteur ou d'éditeur de la part d'un organisme, qu'il soit public ou non. Je serais heureux de vos réactions en commentaires ci-dessous, notamment si en tant qu'éditeur de revue vous avez déjà été confronté à cette situation.
A signaler que le site chapitre.com reprenait les mêmes notices de l'INIST au même prix (suite à un accord passé entre INIST et chapitre.com), mais ceci semble avoir disparu, en tout cas pour la revue évoquée ici.

Ajoût du 27 juin :

Je suis allé sur la page de recherche "droits de copie" du site CFC (Centre français de la Copie) et n'ai pas trouvé ma revue, ni par son titre ni pas son n° ISSN (09893059), malgré ses 22 ans d'existence et le fait qu'elle est donc copiée (puisque distribuée par l'INIST). Ce process peut donc se mettre en place sans que l'éditeur soit informé, même longtemps après.
Voir aussi mon billet suivant dans cette affaire, juin 2011
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18 mars 2009 3 18 /03 /mars /2009 16:25

Je souhaite partager avec mes lecteurs certains éléments économiques de mon statut d’auteur (deux livres éditions Odile Jacob, avril 2006 et octobre 2007), notamment en regard de la « rémunération pour copie privée numérique du livre » (application de la loi du 17 juin 2001).
Car, pour la première fois, je viens de recevoir un chèque de 37,82€ sur le sujet, couvrant la période du 1er septembre 2003 au 31 décembre 2007 (soit vingt mois en ce qui me concerne ; ce qui fait une somme annuelle pour moi de 22,7€ !). Entendons-nous bien, je ne suis pas en train de dire que je devrais toucher plus, mais bien au contraire que cette « taxe » me semble avoir un intérêt limité, servant surtout à faire vivre un circuit administratif.

La taxe est prélevée à l’achat de tous CD, clefs USB,…quand vous achetez un tel appareil « numérique », vous payez cette taxe. Le lien entre le livre et la clef USB ou le CD-R est ténu. Il existe peu de livres dans la production littéraire courante qui ont l’honneur d’être en partie scannés par des particuliers et mis sur leurs clefs USB. Après renseignements pris à la SOFIA, il pourrait s’agir d’extraits de manuels scolaires distribués numériquement en classe, ou de recettes de cuisine extraites de guides pratiques partagées dans des associations. Toujours selon la SOFIA, la taxe avait été votée en 2001 pour les auteurs de musique et de cinéma (piratage), et par souci d’équité étendue aux écrivains. Toujours-est –il que le bien-fondé de cette taxe pour les auteurs de l’écrit ne me paraît pas évidente, et je trouve le circuit lourd pour pas grand’chose.
Le total sur la période 2003-2007 (voir tableau Sofia, PDF mis en ligne par moi) est de 577 000 euros, déduction faite d’un prélèvement de 25% affectés « à la création et aux actions de formation », et de 12% de frais de gestion de la Sofia. Si l’on reconstitue le montant, c’est donc une taxe  de 875 000 euros payée par le consommateur de CD et clefs USB  (dont 78 000 euros vont à la Sofia et  123 000 euros à la création). 

La répartition aux auteurs se fait comme suit :

    • 2) une part variable par ouvrage : pour ma part un livre dans la catégorie ci-dessus + un livre dans la catégorie sciences, soit 5,20 + 2,94. Total fixe + variable 41,03 euros moins les charges sociales, résultat 37,82 euros.

On notera que la répartition entre auteurs se fait uniquement suivant rubriques Médiamétrie (on considère que 9,3% des livres achetés en général sont des livres Sciences-techniques-médecine) et  au nombre de livres écrits. Aucune rémunération n’est liée à la diffusion effective du livre.


Actualisation du billet à novembre 2009
Reçu ces jours-ci le même tableau pour 2008. Le montant total se monte à 480 311 euros pour un an (il augmente donc sensiblement par rapport au montant de 577 000 euros qui couvrait 2003-2007).


(voir aussi mon billet ultérieur [nov. 2009] sur le droit de prêt en bibliothèque)
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28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 10:25
La Bibliothèque royale de Belgique vient d'ouvrir sa bibliothèque numérique. C'est une bibliothèque tous documents (journaux, imprimés, cartes, dessins, médailles...). Elle semble compter à l'ouverture un nombre limité de documents : 2900 pour le XIX°s, 145 pour le XX°s, 320 pour le XVIII°s, etc.

Le mieux pour explorer les bibliothèques avec peu de documents (en effet on ne sait pas qui chercher, des recherches de type "Proust" ou "Poincaré" ne donnent aucun résultat) est d'aller sur la page "recherche avancée" et de cocher une des cases. A cet ednroit-là, on trouve principalement des médailles et des cartes, (1500 cartes et 3500 médailles d'après le compteur), très peu d'imprimés (120 donne la recherche).

Les visualisations sont très diverses : directes pour les médailles, dans une visionneuse après un click sur une URL donnée pour les cartes (exemple); pour les imprimés, ceci paraît plus compliqué, il semblerait que l'on soit renvoyé vers des sites externes en frame dans le site KBR - et l'accès au document est problématique. Essayez (cocher "imprimés" à droite), vous aurez peut-être plus de chance que moi, n'hésitez pas à mettre vos conclusions en commentaires.


Les conditions de droits sont intéressantes, on trouve le paragraphe suivant : "La reproduction des documents mis à disposition dans ‘Belgica’ est autorisée à des fins de recherche, d'enseignement ou à usage privé, sous quelle que forme que ce soit, à l’exception de la publication sur internet." Ceci signifie qu'un document ne peut être mis sur Internet même si le site est à usage pédagogique.
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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 16:48

A l'occasion de la mise en ligne récente sur BibNum du texte de Lambert (1761) sur l'irrationalité de Π (et de son analyse par Alain Juhel), nous portons à votre connaissance l'existence de la bibliothèque numérique de l'Académie des sciences de Berlin.

Vous pouvez vous rendre sur la page de présentation des ouvrages numérisés, et trouverez de nombreux périodiques en français, de 1745 à 1804, dont "Histoire de l'Académie Royale des Sciences et des Belles-Lettres de Berlin".

Saluons ainsi l'amorce d'une bibliothèque numérique scientifique européenne... sachant qu'à cette époque la langue de la science était plutôt le français, voire encore le latin !

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10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 10:22

Difficile de faire entendre sa voix, sa voie, dans le concert de louanges autour d'Europeana. Le plus décalé - compte tenu du fait qu'on ne pouvait voir le site - était la gargarisation autour du nom Europeana, qui aurait été donné par la France en remplacement de TEL The European Library, nom anglo-saxon, horresco referens ! (ce commentaire était d'ailleurs erronné puisque TEL existe toujours, allez comprendre, c'est un site que vous pouvez aller voir, qui lui n'est pas saturé)
Difficile en effet d'écrire quoi que ce soit de sérieux quand on n'a pas pu voir le portail Europeana, ce qui est mon cas ! J'ai retenu toutefois, des commentaires de ceux qui l'ont vu (?), que c'était avant tout une médiathèque, peut-être à thèmes, et sans doute un portail... à confirmer le 15 décembre.
Certaines voix se sont levées (je retrouverai les URLs) pour s'étonner que tout benoîtement, on puisse indiquer sur un site public financé à grands frais "Nous serons de retour le 15 décembre", soit 25 jours plus tard...J'ai lu un commentaire selon lequel, dans un cas pareil, toute l'équipe de développement et les sous-traitants étaient remerciés sur-le-champ. Rendons grâce à l'INA et à l'IGN, lors du lancement respectif de leurs super-sites (Vidéothèque et Géoportail), d'avoir, même s'ils croulaient sous les connexions, tout fait pour rétablir le service 3-4 jours plus tard... Il n'y pas eu cette vélléité semble-til chez Europeana.
François Lambel dans Le Monde Informatique a eu le 27 novembre des mots justes sous le titre "Dissection d'une coquille vide fermée pour travaux" - égratignant au passage Le Monde (mais ces journaux ne sont pas dans le même groupe) qui qualifiait Europeana de "point d'orgue culturel de la présidence française de l'Union européenne" ! Il pose une vraie question : qui fera les comptes pour le contribuable européen ? Dans l'orbite des médias culturels, néanmoins, aucune voix dissonnante, me semble-t-il, sur le sujet d'Europeana.


En attendant d'affiner mon jugement, je réfléchis actuellement sur deux pistes (et vous pouvez le faire aussi si ce sujet vous intéresse) :
1) la première est de cerner la différence entre Michaël et Europeana : lors du colloque PFUE "Numérisation du patrimoine culturel" au musée du quai Branly les 27 & 28 novembre, auquel j'ai participé en partie, j'ai été frappé de la ressemblance entre ces deux projets : européens, tous documents, portails, multilinguisme... la différence étant que Michaël marche, existe depuis plus longtemps, est moins connu (télécharger la présentation de Michaël lors de ce colloque, 20Mo). Lambel n'a pas tort quand il écrit qu'Europeana est une multitude de projets européens imbriqués. A investiguer. Allez voir Michaël et reparlons-en.


2) une deuxième piste est, pour voir comment tous ces projets évoluent, de créer un marqueur, j'en ai trouvé un, sans doute pas le meilleur. Dans Wikipedia, combien de pages réfèrent-elles à Gallica, à Gallica 2, à Europeana, à Google Books. C'est très sîmple :
- Faire une recherche http://books.google dans la boîte de dialogue "Rechercher" de la page d'accueil Wikipedia. Le résultat est : 10774 résultats.
- Même recherche http://gallica.bnf dans la même boîte de dialogue. Le résultat est : 5918 résultats ; et pour Gallica2, il est : 306 résultats.
Il s'agit là d'une démarche expérimentale, en dehors des discours de circonstance : je ne prétends pas à ce que ce soit la meilleure, ou même qu'elle soit valide. Je tâtonne, comme dans toute démarche scientifique. Votre avis sera précieux (NB: la recherche ci-dessus a été faite le mercredi 10 décembre au soir, son résultat semble être très variable, vous pouvez mettre vos résultats avec cette même recherche en commentaires).

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11 novembre 2008 2 11 /11 /novembre /2008 21:59
Nous avons ouvert le site BibNum " Textes fondateurs de la sciencehttp://bibnum.education.fr , avec pour l'instant une quinzaine de textes commentés.
Il s'agit de textes importants de la science (pour l'instant surtout physique et mathématiques, mais à étendre à biologie, sciences humaines, philosophie,...) commentés et analysés par des scientifiques d'aujourd'hui, afin d'expliquer la démarche de l'auteur, la mise en contexte de sa "découverte" et son actualité dans la science de nos jours ou ses applications.
L'histoire des sciences et des techniques est utile pour l'enseignement de la physique et des mathématiques, pour la compréhension de la science mais aussi de la démarche scientifique.
Par ailleurs, ce type de site peut représenter u
ne forme nouvelle, sinon originale, de communication scientifique, intégrée au développement des bibliothèques numériques et au partage des savoirs sur Internet
.

Vous pouvez aussi proposer des textes à commenter, ou proposer de les commenter vous-même (formulaire de contact).
[voir aussi "Qui sommes-nous?", "FAQ", "Recommandations aux auteurs (PDF)"]
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Présentation

  • : Humanités numériques, édition scientifique, diffusion numérique de la connaissance, Enseignement supérieur et recherche, géographie et histoire industrielles (auteur Alexandre Moatti) = ISSN 2554-1137
  • : Discussions sur le projet de Bibliothèque numérique européenne, sur les bibliothèques numériques en général; sur l'édition scientifique papier & en ligne.
  • Contact

Avant-propos

Ce blog est créé à la rentrée scolaire 2006 pour suivre les sujets suivants:
# Bibliothèque numérique européenne (BNUE), et bibliothèques numériques en général.
# Edition et revues scientifiques.
Il est étendu en 2023 sur des sujets connexes aux précédents, mais néanmoins liés : patrimoine industriel, géographie industrielle.

 
Alexandre Moatti
 
 

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