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28 juillet 2012 6 28 /07 /juillet /2012 12:34

(voir aussi mon billet ultérieur sur privé-public Gallica, mai 2013)

 

J’ai déjà souligné ici mon incompréhension du fait que les éditeurs (sous l’égide du SNE) se fassent financer sur fonds publics (CNL Centre national du Livre, taxe sur les scanneurs-photocopieurs) des mises en ligne d’extraits d’ouvrages sur le remarquable site Gallica de la BnF. C’est à mon sens un mélange des genres privé-public, un « partenariat privé-public à la française » assez gênant. Gênant pour l’unité éditoriale de Gallica, où l’on s’attend à trouver des ouvrages patrimoniaux (qui ne sont plus sous droits) : on n’a pas envie que Gallica ressemble à Google Books (sur ce plan – car par ailleurs Gallica n’a pas certains avantages de Google Books). Gênant pour l’utilisation des fonds publics, qui aident à la numérisation et à la mise en ligne (à ma connaissance, fonds de plusieurs millions d’euros annuels) : pourquoi les éditeurs font-ils appel comme souvent aux pouvoirs publics, sachant qu’ils peuvent aussi mettre leurs extraits en ligne sur Amazon, sur Google Books, et sur les différentes plateformes Numilog, EBook, etc? Bref, je ne comprends pas très bien la mission de service public BnF ni l’utilisation des fonds publics dans ce mélange de genres.

 

Le système est à son paroxysme quand il s’agit d’une œuvre patrimoniale (qui n’est plus sous droits) rééditée (la réédition est, elle, sous droits). Ex. Introduction à la médecine expérimentale, Claude Bernard, Baillère 1865 (et Flammarion 2008). Voici la page de recherche Gallica, illustration ci-dessous.

Recherche-Claude-Bernard2-copie-2.JPG

On y trouve deux exemplaires de l’édition de 1865 (un de la BNF et l’autre du partenaire BIUSanté) – un exemplaire généré par EBooks à partir du contenu du site Classiques en sciences sociales (Université de Quebec) pionnier de la numérisation. On y trouve aussi l’exemplaire Flammarion 2008. Quand on clique sur l’exemplaire Flammarion, on arrive à cette page (ci-dessous). On notera dans cette page que la rubrique « Du même auteur » semble ne pas fonctionner du tout et nous donne des résultats aberrants pour Claude Bernard (1813-1878).

Flammarion.JPG

Enfin, quand on clique sur « voir l’exemplaire Flammarion » (on sort du site Gallica), on arrive sur le site Flammarion avec le visualiseur EdenLivres (ici). C’est justement ce type de visualisation que finance le fonds CNL.

FlammEden.JPG

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31 mai 2012 4 31 /05 /mai /2012 14:47

Je recommande la revue Le Débat mai-août 2012, dans les librairies depuis quelques jours.  J'avais proposé en début d'année un article "Le numérique, adjectif substantivé", et vous pouvez le lire dans ce numéro (dont j'ignorais qu'il était consacré à ce thème !).

Debat170-002.jpg

Je lis dans ce numéro un article de R. Darnton qui semble considérer, immédiatement relayé par Jeanneney, que Google Books devient payant. Il s'appuie sur un accord de rémunération signé par Google avec les éditeurs américains. Mais je vois mal en quoi cela impacte la bibliothèque numérique patrimoniale (livres hors droits) de Google, et pourquoi celle-ci deviendrait payante. Si vous avez une idée, faites-m'en part en commentaires.

 

 


PS: je mettrai le pré-print de mon article d'ici juillet en libre accès sur ma page personnelle. Mais en attendant il est normal que les revues vivent.

PS2 : mon article pré-print (version auteur), mis en ligne le 13 août 2012 (PDF 1,5 Mo)

PS3 :Ajoût de juillet 2016 : j'ai fait une suite à cet article, dans Le Débat n°188 (janvier-Février 2016), avec un article intitulé "Le numérique rattrapé par le digital ?". La version auteur en est téléchargeable ici, PDF.

Debat170-002.jpg

 

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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 09:33

[le lien sur lequel j'attire votre attention est le 3°, marqué ICI en gros]

 

L'image du jour WikiCommons est généralement intéressante et esthétique  (pas tous les jours, trop d'images animalières...). Je vous conseille vivement de vous y abonner, chaque jour vous aurez ce courriel de l'image du jour. Je m'en sers maintenant pour changer de temps à autre mon profil sur "un réseau social bien connu" (comme on entend maintenant à la radio...)

 

Mais aujourd'hui, l'image du jour est par surcroît fort techniquement intéressante. C'est l'image en TRèS HAUTE DéFINITION d'un tableau de Van Gogh : WikiCommons. Ne cliquez pas sur l'image (il semble y avoir un bug, en tout cas pour mes deux navigateurs, bug peut-être lié au visualiseur très haute définition du Louvre - je l'ai signalé sur la page de discussion WikiCommons). Mais cliquez sur la rubrique Source/Photographe, Image page, ou directement ici (je vous facilite le travail, mais c'est l'objet de ce billet !).

 

Vous verrez ensuite, par un simple click ou même roulement de molette de souris, apparaître des détails du tableau en très haute défiinition - particulièrement adaptée à la manière de peindre de Van Gogh.

VanGogh.GIF

Vous retrouverez la galerie complète en très haute définition du C2RMF (Centre de restauration des musées de France, unité mixte de recherche CNRS/ Réunion des musées nationaux) ici.

 

Du point de vue logiciel, il s'agit du projet IIPImage, projet semble-t-il libre de SourceForge. En revanche, du point de vue des droits, compte tenu de la politique treès resctrivtive sur Internet de la rMN, du Louvre, d'Orsay, je me demande comment l'image du tableau de Van Gogh peut se retrouver libre de droits sur WikiCommons (si quelqu'un veut m'éclairer en commentaires ci-dessous - mais maintenant tout le monde fait ses commentaires sur sa page réseau social ou son compte de fil...)

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20 décembre 2011 2 20 /12 /décembre /2011 18:24

On avait dit ici (Actualitté) ou là (Affordance) que c’était fini, que grâce aux réseaux sociaux les équipes de la BnF avaient réagi, et qu’on ne reprendrait pas la main de l’auguste BnF dans la culotte du zouave.

Voire. Ou voir, comme un voyeur. Je recommande chaudement – si je puis dire – l’éditeur La Musardine (site de cet éditeur), remonté par Numilog sur Gallica (bibliothèque numérique de la BnF), environ 322 ouvrages (nombreux doublons semble-t-il) :

 

ICI la page de cet éditeur sur Gallica

(revenez lire la suite de l'article SVP!)

 


Vous pourrez feuilleter avec délices Amour & Popotin, La Foire aux cochons (auteur Esparbec, 30 des 300 livres) ; In/soumises ; Le Parfum de la chatte en noir, ou Comment draguer la catholique sur les chemins de Compostelle : auteur E. Liebig, 15 ouvrages assez chauds – mais il nous est précisé (sur la page Gallica) que « l’auteur a par ailleurs publié deux ouvrages très sérieux chez Michalon » et « qu’il collabore à Siné Hebdo et à l’émission Les Grandes Gueules sur RMC »; l'auteur ainsi légitimé, il n'y a plus de quoi fouetter un(e) chat(te) ou mettre en émoi la Fraternité de Saint Pie X.

 musardine3.JPG

 

Après une heure de travaux pratiques (pour moi – et pour vous ?), un peu de théorie.


La technique d’abord : c’est magnifique le XML (non ce n’est pas une abréviation cochonne) – Gallica et la BnF endossent ainsi des œuvres et aussi… des métadonnées (notices sur les ouvrages ou leurs auteurs, cf. le pâle échantillon ci-dessus).


La stratégie de bibliothèque numérique ensuite. Quand on vous disait que le mélange des genres privé-public sur un site Gallica qui devrait rester une bibliothèque numérique patrimoniale n’était pas souhaitable, on ne croyait pas trouver un tel exemple de cocktail détonnant ! N’oublions pas que le mélange des genres privé-public ce n’est pas seulement voir des livres d’éditeurs privés (Gallimard, Fayard, Grasset, etc. dont Musardine) sur un site public (Gallica de la BnF), mais c’est aussi le fait que ces numérisations ou mises en ligne sont financés par le contribuable, comme le rappelle le logo bleu « en association avec le Centre national du Livre » à gauche de chaque notice (plus précisément par la taxe parafiscale sur l’achat d’imprimantes-scanners qui abonde le CNL, lui-même soutenant financièrement les éditeurs pour cette opération Gallica).


Somme toute, on revient là à l’Internet des débuts (ou l’Internet de toujours), les sites de sexe. Remplacer sites par livres et voici un bel usage du livre numérique en perspective (passée et future) ! De quoi voir l'avenir du livre numérique en rose !

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11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 13:06

Insttiut.gif

Je viens de prendre connaissance de la Bibliothèque numérique de l'Institut de France (Académie française, etc.) (lien).Curieux mélange, qui tient sur une page, entre des auteurs très connus (Balzac, Descartes, Galois) et d'illustres inconnus, pour moi en tout cas.


Je ne souhaite pas critiquer plus que nécessaire cette numérisation (d'autant que j'ai déjà critiqué certaines stratégies numériques de l'Institut, ). Elle correspond à un effort méritoire : comme l'indique l'Institut, "Les documents présentés ci-dessous constituent les premiers éléments d’une bibliothèque virtuelle qui montrera aux chercheurs comme au grand public quelques uns [sic] des trésors conservés à la Bibliothèque de l’Institut".

 

Acceptons-en l'augure, mais faisons néanmoins quelques remarques.

 

Ce n'est pas une bibliothèque numérique avec visualisation des documents en ligne, mais une page de téléchargement de fichiers PDF. Les fichiers sont lourds (30 Mo, premier fichier Balzac). Pour la plupart, ce sont des microfilms (d'avant l'époque du numérique) qui ont été numérisés (ex. Galois : microfilm de 1998 de la Société d'ingénierie et de microfilmage).

 

Ce mode de numérisation n'est pas du tout conçu pour une lecture sur Internet ou sur écran. Pour Balzac, je ne connais pas la taille des feuillets originaux : à la numérisation on a deux feuillets d'écriture par A4-PDF, on doit augmenter la taille à 175% pour lire, mais la lecture est difficile - non pas à cause de l'écriture manuscrite mais parce qu'on est en limite de résolution : échelle normale (100%) impossible à lire car caractères trop petits ; plus grande échelle (300%) impossible à lire car perte de résolution. Pour Galois, là non plus je ne connais pas la taille des feuillets originaux : mais la taille sur A4-PDF est plus petite encore, ce qui rend ces feuillets illisibles.

 

À titre de comparaison, on pourra voir des manuscrits avec visualisation en ligne grâce au logiciel ICEBERG du CNRS/CN2SV (auteur du logiciel Stéphane Pouyllau, par ailleurs auteur de blog, et concepteur du moteur de recherche ISIDORE). Ce sont là de véritables bibliothèques numériques de manuscrits :

- site des manuscrits de Gay-Lussac et Monge, SABIX (Société des amis de la bibliothèque et de l'histoire de l'Ecole polytechnique, que je préside) (numérisation et mise en ligne grâce au Plan National de Numérisation 2007 du ministère de la Culture).

- site consacré à Ampère (CNRS/ Centre Alexandre Koyré), et notamment ses manuscrits (numérisation et mise en ligne grâce au programme CORPUS - ANR).

Ce sont là de réelles bibliothèques numériques.

 

Encourageons donc l'Institut à une meilleure réflexion sur cette dernière notion. Le "Grand Emprunt" (volet numérisation), auquel l'Institut est candidat, l'y encouragera-t-il ? Il est à craindre que la manne de ce "Grand Emprunt" ne conduise plutôt à coûteux appels à sociétés de conseil et d'ingénierie, et autres web agencies, avec système propriétaires et maintenance associée. Alors que, justement, des logiciels comme ICEBERG développé pour la visualisation des manuscrits par le CNRS sont non seulement libres mais surtout gratuits (ou fort peu coûteux). Malgré le Grand Emprunt, qui n'encourage pas du tout aux stratégies de moindre coût, essayons de promouvoir ce type de stratégie.

 

Il est enfin un dernier point à souligner concernant les documents numériques de l'Institut, c'est leur coût de réutilisation (voir la page des tarifs). Réutiliser par exemple sur Internet une page de manuscrit coûte par exemple 120€ de droits (réduits de moitié pour une publication scientifique). Dans ce contexte je pose les questions suivantes à mes lecteurs :

- l'Institut, créé sous l'Ancien Régime (Richelieu puis Colbert), n'appartient pas au droit public : mais son patrimoine n'est-il pas néanmoins public ?

- ce qui serait inacceptable pour des imprimés (faire payer ses numérisations, ce que BnF/ Gallica a finalement renoncé à faire), le serait-il pour des manuscrits, documents uniques, à la conservation délicate ?

J'ai, pour ma part, tendance à répondre OUI aux deux questions - je suis favorable à une diffusion gratuite de ces oeuvres-là, aussi. Mais le débat est ouvert (commentaires).

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 12:27

J'ai fait le 15 septembre dernier à Neuchâtel (Suisse), à l'invitation de la 88° assemblée générale des archivistes suisses, une présentation intitulée : "Diffusion du patrimoine et de la culture scientifiques sur Internet : bilan prospectif de diverses expériences" (présentation à télécharger sur leur site, PDF 3Mo)


J’essaie d’y faire une lecture et une description de divers projets auxquels j’ai contribué ou contribue encore, ou que je mène moi-même :


1. Bibliothèque numérique européenne (Europeana ou BNuE) – comparaison avec Google (cf. mon article dans La Jaune & la Rouge, février 2010)

2. Un exemple concret : BibNum histoire des sciences (cf. mon article Bulletin des Bibliothèques de France, mai 2010)

3. Usages d’Internet : IST (information scientifique et technique - recherche) (cf. rapport Salençon-Moatti au MESR mai 2008)

4. Usages d’Internet : CST (culture scientifique)

5. Wikipedia & al.


Je serai heureux de vos commentaires à propos de cette présentation.

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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 21:48

Je prie mes lecteurs (occasionnels) de m'excuser de l'apparence du blog. Over-Blog me signale qu'après 45 jours d'inactivité, ils ajoutent automatiquement de la publicité !!! Désolé pour ceux qui sont venus depuis !!!

 

J'en profite donc pour mettre un billet - en fait je cherchais des URLs Google Books pour la bibiographie d'un prochain ouvrage. Et j'ai trouvé la forme de l'URL la plus simple pour une URL Google Books. Car souvent on arrive à un ouvrage Google Books par une recherche, et ce n'est pas toujours facile de trouver l'URl de base de l'ouvrage.

 

Par exemple pour un ouvrage de (Charles) Fourier (je mets à dessein l'URL en lisible)  : http://books.google.com/books?id=SWE9AAAAYAAJ

 

Au passage, ayant travaillé sur des textes de cet auteur ce jour, j'ai constaté qu'il était beaucoup mieux représenté sur Google Books sur Gallica, avec une recherche plein texte beaucoup plus rapide sur Google Books que sur Gallica.

Fourier-Charles.jpg



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16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 10:56

On se réjouit de trouver sur Gallica de nombreux documents scientifiques cherchables (Dieu que ce mot est horrible) - mais il y a encore quelques difficultés, parfois, à préciser l'emplacement du mot dans l'image : le surligné se fait un peu au-dessus, même une ligne au-dessus. Ceci oblige à un travail d'accomodation pour ajuster sa vision sur la ligne en-dessous. Ce défaut est présent sous Firefox, pas Internet Explorer (j'ai vérifié pour la même page) - il est peut-être lié

 

ex. Poncelet, Introduction à la mécanique industrielle, recherche du mot "travail", p.9 (lien)

XML-Alto.JPG

 

(à présent je sais que plusieurs personnes tout à fait compétentes de la BnF lisent mon blog - je les en remercie - aussi vais-je faire peut-être un peu plus souvent des remarques de cet ordre - remarques destinées à progresser et qui n'enlèvent rien à l'intérêt de l'utilisation de Gallica)

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8 janvier 2011 6 08 /01 /janvier /2011 11:08

Je fais part à mes lecteurs, au fil de mes recherches, de certaines bizarreries dans les bibliothèques numériques.

 

Gallica, Comptes-rendus de l'Académie des sciences, deux tomes par an comme d'habitude : le premier tome (premier semestre) de l'année 1843 (ou des années 1849, 1855) est cherchable en mode texte, pas le second (second semestre). Allez savoir pourquoi !

 

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343481087/date1843

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343481087/date1849

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343481087/date1855

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343481087/date1860

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343481087/date1862

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343481087/date1864

 

(NB : je crois que les Comptes-Rendus sont le périodique le plus consulté sur Gallica, il serait bon qu'il soit cherchable plein texte)

 

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7 décembre 2010 2 07 /12 /décembre /2010 10:19

Les choses changent - les positions doctrinaires ont fait place aux réalisations pragmatiques.

 

Europeana est à présent connectée à des bibliothèques travaillant avec Google, comme celle de la bibliothèque de l'université de Gand (Belgique).

 

Voir page d'accès depuis Europeana à un ouvrage de Coriolis.

 

Voir image ci-dessous une fois sur le site de Gand/Gent, et la mention digitized by Google (soulignée en rouge par nous).

Google-Europeana--Gand-V2.JPG

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Présentation

  • : Humanités numériques, édition scientifique, diffusion numérique de la connaissance, Enseignement supérieur et recherche, géographie et histoire industrielles (auteur Alexandre Moatti) = ISSN 2554-1137
  • : Discussions sur le projet de Bibliothèque numérique européenne, sur les bibliothèques numériques en général; sur l'édition scientifique papier & en ligne.
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Avant-propos

Ce blog est créé à la rentrée scolaire 2006 pour suivre les sujets suivants:
# Bibliothèque numérique européenne (BNUE), et bibliothèques numériques en général.
# Edition et revues scientifiques.
Il est étendu en 2023 sur des sujets connexes aux précédents, mais néanmoins liés : patrimoine industriel, géographie industrielle.

 
Alexandre Moatti
 
 

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