Relisons, les classiques. Après Chateaubriand, Stendhal (qui n'aimait pas beaucoup le vicomte, semble-t-il). En 1825 (in Courrier Anglais), il crée son propre mot : le puff, puffer. Parmi les quelques occurrences Gallica :
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Henri Martineau (1882-1958), le maître stendhalien, nous donne l'explication de ce mot chez Stendhal dans une édition (Le Divan 1933) des Mélanges de Littérature, avec des exemples chez d'autres écrivains : « Vanter à toute outrance et prôner sur Internet dans les journaux avec effronterie. »
Ne ferions-nous que retrouver des phonèmes antérieurs ? L'analogie sémantique entre puff et buzz est criante – et par ailleurs puff vient aussi de l'anglais, comme quasi tous nos termes Internet actuels !
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